Lors du colloque international sur la finance islamique le ministre délégué à la prospective et aux statistiques, le docteur Bachir Messaitfa, avait réaffirmé l'intérêt des pouvoirs publics de voir ces activités financières se développer et contribuer de manière plus importante à l'effort de mobilisation de l'épargne nationale, de financement de l'économie et de bancarisation de la société. Les sukuk étant adossés à des actifs tangibles peuvent constituer une alternative pour toute entité de droit public ou privé désirant lever des fonds à travers des mécanismes de marché dans le respect des principes de la chari'a. En matière de crédit, la formule de vente par tempérament de véhicules préalablement acquis par la banque a suscité un immense intérêt auprès des citoyens.